L’importance de la diversité des approches pour s’adapter à vos enjeux
À la manière de Carl Jung, je crois que le mieux-être naît de la rencontre avec soi-même : reconnaître ses parts d’ombre et de lumière, accueillir ce qui se joue à l’intérieur pour se transformer en profondeur.
Et comme Michael White, je crois au pouvoir des récits : nous ne sommes pas nos problèmes, mais les histoires que nous choisissons de raconter peuvent soit nous enfermer, soit nous libérer.
Enfin, dans l’esprit de l’école de Palo Alto, je crois que le changement émerge avant tout dans la relation — dans la façon dont nous interagissons, communiquons et réagissons à ce qui nous entoure. Comprendre ces boucles relationnelles, c’est déjà commencer à s’en libérer.
Ces approches se rejoignent dans ma pratique : elles mettent toutes l’accent sur la conscience, le sens et la responsabilité.
Elles m’inspirent chaque jour à accompagner les personnes et groupes à retrouver confiance en elles, se reconnecter à leurs valeurs, reprendre leur pouvoir d’agir et avancer avec clarté et sérénité.
C’est l’art d’aider chacun.e à reprendre contact avec ses forces, à se reconnecter à son histoire, et à retrouver la liberté d’écrire la suite avec sens et confiance, à tous moments de sa vie.
Le coaching
Le coaching vise à accompagner les personnes dans les moments de transition, de questionnement ou de changement. Parce qu’à certaines étapes de la vie, nous avons besoin de prendre de la hauteur, de retrouver du sens, et d’avancer avec plus de clarté et de confiance.
Issu du monde du sport et de la performance, le coaching est apparu dans les années 1970 aux États-Unis avant de s’élargir au développement personnel et professionnel.
Il s’inspire à la fois de la psychologie humaniste, de la philosophie existentielle et des sciences de la communication, en plaçant la connaissance de soi, la responsabilité individuelle et le potentiel humain au cœur de la démarche.
Le coaching repose sur une conviction forte : chacun possède en lui les ressources nécessaires pour évoluer.
Le rôle du coach n’est pas de conseiller, mais de créer un espace d’écoute, de questionnement et de réflexion où la personne peut explorer sa situation, clarifier ses choix et construire ses propres solutions.
Le coaching s’appuie sur une relation de confiance, un dialogue structuré et une écoute active, permettant d’éclairer les zones d’ombre et de faire émerger les forces, les valeurs et les motivations profondes.
C’est un processus orienté vers l’action et la transformation, qui aide à retrouver confiance en soi, mieux gérer le stress, prendre des décisions alignées et agir en cohérence avec ce qui compte vraiment.
Le coaching considère que les difficultés ne définissent pas les personnes. Il s’agit d’un accompagnement bienveillant et non jugeant, fondé sur la liberté, la responsabilité et la reconnaissance de la singularité de chacun.
Sa finalité n’est pas de “corriger” mais de faire grandir : de reconnecter la personne à sa capacité d’agir, d’aimer, de choisir et de créer la vie qu’elle souhaite mener.
L'approche narrative
La thérapie narrative vise à soigner les histoires dans lesquelles les gens sont enfermés.
Parce que c'est à travers nos récits que nous construisons notre réalité et façonnons notre identité.
Cette approche de la relation d’aide et du travail avec les communautés a été initialement développée par l'Australien, Michael White et le Néo-Zélandais, David Epston. Elle prône le respect et le non-jugement et considère que les gens sont experts de leur propre vie.
Au cours des 30 dernières années, la thérapie narrative a apporté un large éventail de nouvelles façons de répondre aux gens et aux problèmes auxquels ils sont confrontés.
Réunissant dans le monde une forte communauté de praticiens et de chercheurs, elle a des applications en thérapie individuelle et familiale, coaching d’entreprise, travail social, éducation, et dans une grande variété de domaines liés à l’accompagnement.
Elle est fondée sur l’idée que les récits que nous produisons en permanence sur notre vie peuvent soit nous enfermer, soit nous libérer, et qu’il existe toujours une multiplicité de points de vue pour rendre compte d’une situation.
Cette approche considère les problèmes comme distincts des personnes. La thérapie narrative part du principe que les personnes possèdent de nombreuses aptitudes, compétences, croyances, valeurs, engagements et capacités qui les aideront à réduire l'influence des problèmes dans leur vie. Sa méthode d’intervention est basée sur des conversations narratives.
Elle propose ainsi un travail en profondeur sur le sens et sur le lien, en reconnaissant l’influence de la transmission et de l’imitation dans nos choix et s’inscrit dans le respect des « pratiques de vie » de chacun dans sa capacité à évoluer.
L’approche narrative ne se focalise donc pas sur les problèmes mais au contraire, sur les compétences déployées par les personnes et les groupes pour lutter contre les problèmes.
L'approche systémique
La pensée systémique permet d’appréhender “comment nous sommes acteurs de notre réalité” et d’apprendre à détecter les forces systémiques et les leviers permettant de modifier les événements dans un système.
Même si c’est un concept très à la mode actuellement, la pensée systémique émerge dès le XIXè siècle, en psychologie notamment, avec l’école de Palo Alto dans les années 1950 et tous les travaux de Gregory Bateson. Puis en 1968, Ludwig von Bertalanffy, que l’on considère comme le père de la pensée systémique, publie le premier ouvrage sur la pensée systémique. A partir de là, différentes recherches ont été menées pour élargir la pensée systémique à de nombreux domaines.
Les bénéfices de la pensée systémique
Résolution de problèmes plus efficace
Communication plus efficace
Planification plus efficace
Développement organisationnel plus efficace
Les éléments fondamentaux d’une approche systémique
La solution la plus facile ramène systématiquement au problème
La situation risque d’empirer avant de s’améliorer
Il faut penser à l’interdépendances des éléments entre eux
La pensée systémique nécessite de collaborer, c’est un travail de groupe
On ne soigne pas le symptôme ni la cause
Il faut prendre son temps et laisser les résultats arriver
La pensée systémique est donc très efficace pour comprendre la complexité des écosystèmes : les relations avec leur environnement, les échanges entre les différents sous-systèmes et les différentes entités, les cycles qui s’y produisent, les changements et adaptations qui s’y opèrent afin de conserver l’équilibre, les phénomènes de croissance, d’évolution ou encore de rupture.
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